D’elle on remarque d’abord son informe sweat orange rongé de trous. Elle s’asseoit doucement, son rat posé sur l’épaule. Il renifle avec délicatesse ses cheveux cuivre, teints au henné, la regarde de ses yeux rouges. Puis il descend sur sa poitrine, se balade un peu entre ses clavicules. Elle caresse son dos blanc, essaie de le retenir. Lui se faufile entre ses mains, fait mine de s’échapper. Elle regarde d’un air amusé les voyageurs écoeurés.
Les gens, surtout ceux qui sont en transite dans le métro manque cruellement d’esprit. Probablement cela est-il due à la minorité de station aérienne ?
c’est bien écrit. bonne continuation.
bonjour
très très bien,me fait penser à l’écriture de marc Lévy…